Ils ont laissé des traces de leur passage. Les gouttes d’eau ont tout rafraîchi. L’air est humide, le vent pas suffisant. Au loin l’orage gronde. Elle n’a pas le courage d’aller danser. La prochaine fois qu’elle ira chez eux c’est sûr elle ne quittera pas ses chaussures. Elle a passé sa matinée à frotter. Qui s’en inquiète de ses planchers à elle ?
Commentaires récents
- torrent dans Placide
- Martine dans UN SAC DE NŒUDS
- brigitte celerier dans L’AN NEUF
- Marie Moscardini dans Prière des Indiens
- brigitte célérier dans Prière des Indiens
C’est adorable comme petit texte.
Merci beaucoup Delphine.